L’édifice 7, roman spirituel, Damien Larocque, Fondation littéraire Fleur de Lys

L’édifice 7

Damien Larocque

Roman spirituel

Fondation littéraire Fleur de Lys

Lévis, Québec, Décembre 2019,

124 pages. Format : 6 X 9 pouces.

Reliure allemande.

Couverture couleur souple.

ISBN 978-2-89612-578-4

Édition papier : 24.95$

Édition numérique : 7.00$ (PDF)


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Extrait

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PRÉSENTATION

PRÉSENTATION

Stéphane, le personnage principal, est victime d’un accident de la route. Sa sœur, Françoise est à bord du véhicule lors de la catastrophe. Celle-ci va s’en sortir, mais son frère se retrouve entre la vie et la mort. Va-t-il récupérer une santé mentale, et physique normale ? Le docteur Leblanc accompagne Stéphane, sur une longue période, l’activation d’un coma artificiel s’avère une situation présentant une fin d’existence pour le malade; sa famille proche envisage la déconnexion des appareils. Vont-ils procéder ? Pendant ce temps, Stéphane expérimente une sortie de son corps. Ce voyage inusité, va-t-il lui procurer des instants de bonheurs ou son contraire ?

Un jour ou une nuit, le comateux se réveille, il s’ensuit une grande période de douleurs psychologiques, et physiques. Il devra s’en remettre à des séances de thérapie, cela le rebute, affronter la peur, lui occasionne des moments de panique incontrôlables, et terribles. Il n’a pas le choix, celui-ci doit se soumettre encore, et encore à des heures de cauchemars réelles.

Plus tard, Madame Rose entre à l’intérieur de l’existence de Stéphane. Elle lui fait connaître un univers, où tout est possible. Jusqu’où leurs relations, iront-ils ? Madame Rose est une spécialiste en technique d’hypnose, et thérapeute depuis plus de trente ans. Un miracle est-il possible ?


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TABLE DES MATIÈRES

Les accidents

L’odyssée

Le rapatriement

Les réveils

La révolte

Le retour de Stéphane

Madame Rose

Épilogue

* * *

Références

* * *

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EXTRAIT

EXTRAIT

Extrait du Premier chapitre LES ACCIDENTS

Le boulevard Valcartier, à Loretteville était rectiligne, sur une longue distance, et la circulation y était beaucoup trop rapide. Des camions plus lourds de leur chargement de sable ou de gravier dépassaient souvent la limite de vitesse permise. Les parents Fontaine étaient heureux d’avoir acheté enfin leur premier domicile. Horace, le père de Stéphane et de Françoise suivait sa femme Juliette, avec un désir sexuel n’ayant aucun rapport avec la vérification de sa femme : « Tu viens mon chéri, nous allons examiner la porte du garage. » Avec un soupir non retenu, Horace lui dit : « Ben voyons, tu sais très bien qu’elle fonctionne. Nous vivons depuis déjà trois semaines dans notre maison. » Juliette sa conjointe rajouta : « Ou sont les enfants, je ne les entends plus, ce n’est pas bon signe. » « Veux-tu relaxer mon amour, la chaleur du mois de mai ne te repose pas un peu. Viens t’asseoir dehors sur notre terrain. » Il faisait beau en cette journée, de l’année deux mille seize. Les enfants s’amusaient en faisant courir le chien avec une balle de tennis. Juliette avait réussi à s’étendre sur une chaise pliante en disant à Stéphane et sa sœur de faire attention à ne pas tomber dans la piscine. Juliette possédait un corps en pleine santé, des cheveux longs bruns qui lui enveloppaient les épaules en descendant jusqu’au milieu de son dos. Son visage bien proportionné montrait à ces convives et ses compagnons de travail une personne bien dans sa peau, et toujours prête à rendre des services aux autres. Elle possédait un diplôme d’infirmière. Horace respirait à plein poumon, il était fier de lui, la nouvelle maison répondait aux critères de la famille Fontaine. Il préférait lire un livre au lieu de marcher avec sa femme. Sa tête était garnie de cheveux blonds, sa peau étant blanchâtre, celui-ci devait se défendre de n’être pas malade. Ses qualités de professeur lui octroyaient un enseignement bien compris par ces élèves. Sa voix vibrante, ses six pieds, et son dos un peu courbé lui donnaient une présence évidente.

En ce début d’après-midi, la beauté du samedi semblait sans fin. Les enfants fendaient l’air en essayant d’attraper un chien qui ne se laissait pas cajoler longtemps. Horace s’était installé sur une chaise identique à celle de sa femme tout près d’elle. À l’instant où ils s’assoupissaient, un fort crissement de pneus se fit entendre, suivi sans délai d’un bruit sourd, et d’un cri féminin à glacer le sang. Les gamins cessèrent sur-le-champ leurs activités. Juliette eut le réflexe de courir en passant par l’extérieur de la demeure, c’était bien ce qu’elle craignait, une jeune fille gisait sur l’asphalte. Le choc avait été terrible, son corps exhibait ses deux jambes repliées sur son torse. Le chauffeur de la voiture impliqué stationnait un peu plus loin. L’homme demeura à l’intérieur de son véhicule. Juliette se servit de son calme d’infirmière, afin de s’approcher de la petite. Elle voulait vérifier l’état général de celle-ci. En déposant deux de ses doigts de la main droite, au bon endroit sur son cou, elle constata que le cœur battait lentement, et irrégulièrement. Pendant ce temps Horace téléphona à la police pour signaler l’événement. Le chien aboyait sans arrêt en courant nerveusement, il réussit à se cacher. Françoise était en compagnie de son frère en essayant de lui changer les idées. Ce n’était pas facile pour elle, Françoise vivait aussi des secondes très désagréables. Horace leur dit : « Rester dans la cour. » En employant des mots choisis pour ne pas les effrayer plus qu’ils ne l’étaient déjà. Juliette surveillait une jeune fille à l’agonie. Deux voitures de police suivies d’une ambulance arrivèrent enfin, une odeur nauséabonde de caoutchouc brûlé régnait dans l’air.

Juliette se présenta : « Bonjour, messieurs je suis infirmière elle respire encore, mais avec beaucoup de difficultés, son pouls est faible, d’après moi, son cœur peut arrêter de battre d’un instant à l’autre. » Un des ambulanciers tenta de remettre les jambes de l’accidenté à leur place avec succès. Le policier qui ne conduisait pas se dirigeait vers la voiture accidentée. Il demanda à l’homme de sortir de sa Camaro et de lui présenter son permis de conduire et ses papiers d’assurance. L’agent retourna à sa voiture à fin de donnée les papiers à son confrère. Une fois fait, le chauffeur de l’auto accidenté expliqua au représentant de l’ordre, les raisons de la catastrophe en parlant, et en ayant des gestes de nervosité mal cachée. Il tremblait des mains, et avait beaucoup de difficulté à se tenir debout. « Monsieur l’agent, je n’ai pas eu le temps de l’éviter. Comme vous pouvez le voir, le véhicule est stationné à droite de la route. Juste au moment où je passais, la porte arrière gauche s’ouvre et une jeune fille descend sans regarder si une voiture arrivait. C’est comme si elle était au milieu du chemin. J’ai freiné, mais mon auto ne sait pas arrêter assez vite. » Le policier examinait l’allure de l’individu, il s’en approcha pour sentir son haleine puis lui dit : « Je vais vous demander de monter à l’arrière de notre voiture. Vous devez nous accompagner jusqu’au poste. Votre Camaro va être remorqué; vous ne pouvez plus conduire jusqu’à la fin de l’enquête. Suivez-moi. »

Stéphane et Françoise attendaient anxieusement le retour de leur mère. Horace était à présent avec ses enfants n’ayant que sept et neuf ans. Moustache, le chien aboyait moins tout en demeurant aux aguets. Horace ne parlait pas, il répondait aux rares questions que ses amours lui posaient. Françoise lui mur¬mura : « Papa, maman va-t-elle revenir bientôt ? » Celle-ci avait une grande envie de pleurer et d’uriner. Elle lui réclama la permission d’aller aux toilettes : « bien sûr ma chérie, mais, tu ne dois pas regarder par la fenêtre du salon. » « Oui papa je ne regarderai pas. » En marchant vite elle entra dans la maison. Quelques minutes plus tard, Françoise rejoignit son frère et son père en lui disant qu’elle n’avait pas lorgné : « Maman n’est pas là. Est-elle partie travailler ? » Stéphane posait la question à son père en essayant d’arrêter de pleurer : « Non, Stéphane, elle va sans doute venir nous retrouver bientôt. Ne sois pas inquiet, mon fils. » La journée si bien commencée se termina pour la petite famille en silence et en ayant perdu l’appétit pour le souper. Par habitude, ceux-ci s’installèrent autour de la table de la cuisine, Juliette prit la parole : « Écoutez-moi bien les enfants. Ce qui s’est passé aujourd’hui est très rare, c’est normal que vous ayez des réactions comme pleurer, vomir, avoir des tremblements de vos bras ou de vos jambes. Vous savez, nous aussi les adultes, nous en avons. Je vais vous dire ce qui sait passé; une petite fille a été frappée par une voiture qui roulait trop vite, le conducteur n’a pas eu le temps de freiner avant que la pauvre fille soit sou la voiture. Soyez certain que ce n’est pas de votre faute. La circulation est trop rapide, je vais en parler à l’hôtel de ville… maintenant, ce que je veux, c’est que vous me parliez à moi ou à votre père si vous avez des problèmes de sommeil ou n’importe quel changement que vous allez avoir ou non. Comprenez-vous bien, ce que je viens de vous dire. » Stéphane ouvrit la bouche pour poser une question : « Maman, la petite fille est-elle au paradis ? » « Je ne sais pas mon chéri. Ce soir, si vous le voulez Horace et moi nous allons vous rendre une petite visite dans vos chambres, nous allons vous border, et peut-être allons-nous réciter une prière en pensant à cette petite fille qui avait sans doute des milliers de choses à faire sur notre pauvre terre. » Les enfants s’exclamèrent d’une seule voix afin d’exprimer leur contentement.


AU SUJET DE L’AUTEURE

AU SUJET DE L’AUTEUR

DAMIEN LAROCQUE

D’aussi loin qu’il se souvienne, l’auteur a toujours existé en dehors, d’un système social, qu’il avait de la difficulté, à comprendre. L’école lui servait à rêver, les pupitres étaient comme des barrières l’empêchant, de vivre comme il le voulait. Naturellement, les adultes étaient des ennemies, l’empêchant de sortir d’une classe bondée de jeunes de son âge. Les élèves partageant son local, lui faisait peur, il ne savait pas se défendre verbalement, ou physiquement; celui-ci se faisait le plus invisible possible.

Heureusement, le temps passa, et le voici au début de sa vie d’adulte. Toujours aussi solitaire, ses premières expériences de travail lui donnaient l’impression, qu’il était capable de comprendre aisément, la besogne demandée. Il aimait découvrir des aspects de l’existence que d’autres ne captaient pas, facilement; l’école de la vie lui convenait très bien. Un jour, l’auteur visita une librairie, il déambulait tranquillement, à travers les allées, lorsqu’il s’arrêta à la section des livres traitant: d’ésotérisme, de religiosité, et de spiritualité. Ces livres-là se présentaient avec des pages couvertures insolites; elles l’attiraient instinctivement, c’était comme s’il devait tous les lire. C’est ce qu’il fit en choisissant ceux qui lui octroyaient la motivation de les parcourir, de la première à la dernière page. Pour l’auteur, toucher un livre, sentir son odeur, vérifier son poids, étudier sa couverture s’apparente avec le fait de se régaler intellectuellement.

Autodidacte, voilà ce qu’il se fit dire par une personne voyante, expérience qui lui accorda d’être enfin, reconnu comme une personne normale. L’auteur continua à travailler, à la recherche des raisons de vivre et de mourir.

L’auteur est convaincu que nous vivons sur Terre, afin de réaliser un choix, que nous ne connaissons pas nécessairement, d’une façon consciente. Il vous présente ce livre, comme un complément à ce qu’il a déjà écrit dans son volume intitulé: Lune DeJour ou le pouvoir du savoir.

Entre les guerres, et les affaires urgentes, il nous dit que nous pourrions fermer nos yeux, afin d’explorer notre univers d’étoiles. La conviction l’habite, en vous disant que nous sommes capables de construire des maisons enracinées sur une terre vivante et bienfaisante.


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Damien Larocque se fera un plaisir de lire et de répondre personnellement à vos courriels.

Adresse de correspondance électronique

   larocque.damien@videotron.ca


PRÉSENTATION

DU MÊME AUTEUR

c.damien-larocque-2a-265

Lune DeJour
Damien Larocque
Roman spirituel
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, Décembre 2019,
250 pages. Format : 6 X 9 pouces.
Reliure allemande.
Couverture couleur souple.
ISBN 978-2-89612-579-1
Édition papier : 24.95$
Édition numérique : 7.00$ (PDF)

Pensées
Recueil de poésie
La société des écrivains (France)
2016
ISBN : 9782342052725
 
 Recueil d’événements au sein de l’espace
 Recueil de nouvelles de science-fiction
 Éditions Belle feuille
 2012
 ISBN : 9782923959498


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Damien Larocque
Roman spirituel
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, Décembre 2019,
124 pages. Format : 6 X 9 pouces.
Reliure allemande.
Couverture couleur souple.
ISBN 978-2-89612-578-4
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