L’Évangile ─ Qu’on vous enseigne moins, essai, Cyrille Simplice Wandji, Fondation littéraire Fleur de Lys

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L’Évangile ─ Qu’on vous enseigne moins

Cyrille Simplice Wandji

Essai

Fondation littéraire Fleur de Lys,

Lévis, Québec, 2021, 176 pages.

ISBN 978-2-89612-610-1

Couverture souple couleur

Format 6 X 9 pouces

Reliure allemande

Exemplaire papier : 24.95$ (Canada)

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PRÉSENTATION

PRÉSENTATION

Dans le livre biblique « Les Actes des apôtres », il est dit que les disciples qu’on envoyait prêcher sur le terrain étaient « remplis de l’Esprit-Saint ». Aujourd’hui, c’est le cursus scolaire qui détermine la crédibilité de celui qu’on envoie transmettre le message de Christ, l’Esprit étant relégué au second plan, ou ne jouant que le rôle d’attrape-mouche pour des araignées avides de toutes sortes de gloires et de richesse. Pourquoi baptise-t-on les chrétiens au nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit ? Eh bien parce que le rachat des péchés est une initiative du Père, rendu concret par le sacrifice du Fils, et entretenue par les œuvres de l’Esprit-Saint. En d’autres termes, une fois qu’on est entré dans la Grâce par le baptême, l’Esprit nous renouvelle jusqu’à la sanctification, nous guide en nous éclairant dans les voies de Dieu : l’Esprit est l’enseignant ultime.

Lorsque Jésus réprimandait l’église de Laodicée, Il dit : « Je connais tes œuvres. Je sais que tu n’es ni froid ni bouillant. Puisses-tu être froid ou bouillant! Ainsi, parce que tu es tiède, et que tu n’es ni froid ni bouillant, je te vomirai de ma bouche. Parce que tu dis : Je suis riche, je me suis enrichi, et je n’ai besoin de rien, et parce que tu ne sais pas que tu es malheureux, misérable, pauvre, aveugle et nu, je te conseille d’acheter de moi de l’or éprouvé par le feu, afin que tu deviennes riche, et des vêtements blancs, afin que tu sois vêtu et que la honte de ta nudité ne paraisse pas, et un collyre pour oindre tes yeux, afin que tu voies. Moi, je reprends et je châtie tous ceux que j’aime. Aie donc du zèle, et repens-toi. »

Ainsi sont la plupart des évangélistes aujourd’hui : tièdes parce qu’ils se fient plus à leurs diplômes qu’à prier afin d’obtenir l’Esprit de Dieu pour les guider. Beaucoup ne croient même plus que cet Esprit travaille encore. Ils sont devenus ce que le Christ appelle : des aveugles qui conduisent des aveugles; et lorsque des aveugles conduisent des aveugles, tous deux tombent dans des trous…


EXTRAIT

EXTRAIT

PROLOGUE

Un jour j’ai écrit un texte de slam intitulé « Tout fout le camp »; un texte avec pour thème principal la morale. Je l’ai scandé devant un public mitigé et, à la fin de ma lecture, en descendant du podium, un spectateur m’a déclaré : « Tu as du culot de faire un texte à propos de la morale dans un Québec encore meurtri par les abus du pouvoir ecclésiastique ! »

Le culot ! Voilà ce qui manque à l’évangile qu’on prêche dans le monde aujourd’hui; un monde dont la face change drastiquement en ces temps de la fin – pas que le monde fut très brillant à l’époque de l’instigateur de l’évangile, si oui pourquoi aurait-il déclaré « vous [les chrétiens] êtes la lumière du monde ? » Jésus disait : « On n’allume pas une lampe pour la mettre sous la table, mais on la met sur le porte-lampe afin qu’elle éclaire toute la maison. » Je me pose une question : le tort d’une planète si noire aujourd’hui doit-il être imputé aux personnes immorales seulement, ou doit-on impliquer dans ce déclin l’auto-musèlement des objecteurs de conscience ? Est-ce le monde qui se noircit davantage à nos jours, ou sont-ce toutes ces lampes éteintes – lorsqu’elles ne sont pas dissimulées – qui décuplent les ténèbres ?

Quand Jésus-Christ répandait l’évangile, on disait de Lui qu’Il ne prêchait pas comme les autres enseignants, mais comme ayant autorité; où est passée cette qualité dans nos évangélistes d’aujourd’hui ? Oh, ne vous méprenez pas sur la nature de l’autorité que Christ exerçait en son temps, car je vous rassure que cela n’avait rien à voir avec forcer une femme à porter des enfants; rien à voir non plus avec obliger les gens à aller au culte dominical, ni brûler sur le bûcher quiconque ne respectait pas une doctrine. L’autorité qu’exerçait Jésus résidait dans cette façon de rallier les gens à sa cause juste avec des mots adéquats, des mots qui transperçaient l’âme pour mettre au grand jour l’iniquité, amenant – pour ceux qui étaient humbles et sincères – à réfléchir sérieusement sur les conséquences des actes qu’on posait, ou qu’on allait poser.

Napoléon, roi de France, disait de Jésus et de l’Évangile :

« Je cherche en vain dans l’histoire pour y trouver le semblable de Jésus-Christ, ou quoi que ce soit qui approche de l’Évangile. Ni l’histoire, ni l’humanité, ni les siècles, ni la nature, ne m’offrent rien avec quoi je puisse le com­parer et l’expliquer. Ici tout est extraordinaire; plus je le considère, plus je m’assure qu’il n’y a rien là qui ne soit en dehors de la marche des choses et au-dessus de l’esprit humain.

Les impies eux-mêmes n’ont jamais osé nier la sublimité de l’Évangile, qui leur inspire une sorte de véné­ration forcée. Quel bonheur ce livre procure à ceux qui croient ! Que de merveilles y admirent ceux qui l’ont médité! Tous les mots y sont scellés et solidaires l’un de l’autre, comme les pierres d’un même édifice. L’esprit qui lie les mots entre eux est un ciment divin qui tour à tour en découvre le sens ou le cache à l’intelligence. Chaque phrase a un sens complet, qui retrace la perfection de l’unité et la profondeur de l’ensemble; livre unique où l’esprit trouve une beauté morale inconnue jusque-là, et une idée de l’infini supérieure à celle même que suggère la création ! Quel autre que Dieu pouvait produire ce type, cet idéal de perfection, également exclusif et original, où personne ne peut ni critiquer, ni ajouter, ni retrancher un seul mot; livre différent de tout ce qui existe, absolument neuf, sans rien qui le précède et sans rien qui le suive ? … » (Napoléon en exil à Sainte-Hélène)

Combien d’évangélistes aujourd’hui possèdent la verve de Napoléon pour présenter l’Évangile ? Combien d’évangélistes aujourd’hui insistent sur les principes moraux de ce Saint Livre ? Combien d’évangélistes se mouillent aujourd’hui afin que la noirceur recule dans le monde ?

Quand on peut m’attribuer du culot pour avoir écrit et déclamé un texte lumineux qui ne constitue même pas la lueur d’une allumette dans ce monde de ténèbres, n’est-ce pas à pleurer de désolation ?


auteur

AU SUJET DE L’AUTEUR

Cyrille Simplice Wandji

Cyrille Simplice Wandji est né à Bertoua, dans l’Est-Cameroun. Il immigre au Canada en juin 2007 et s’installe dans la province de Québec où il vit actuellement. Travaillant comme inspecteur en Assurance Qualité pour une entreprise qui construit des tours éoliennes, il consacre son temps libre à écrire de la poésie et quelquefois des nouvelles, mais surtout faire des recherches sur le christianisme. L’Évangile qu’on vous enseigne moins est le deuxième Essai religieux qu’il écrit, le premier étant intitulé : Imposture, pour en finir avec les amalgames et publié chez Edilivre.

C’est à Matane, cette ville qui comme le nez dans la figure s’avance dans le fleuve, caressée par la brise fraîche l’été, mais tancée par les vents froids l’hiver, qu’il s’établit, fuyant la grande ville – Québec et surtout Montréal – où tout lui rappelle ce qu’il a laissé là-bas, dans son pays natal. L’intégration n’est pas facile dans cette agglomération tissée serrée où, il suffit de venir de la ville la plus proche, Rimouski, pour se sentir étranger, quoique Québécois de souche. C’est donc en homme persévérant qu’avec Catherine Berger et Marie-Claude Soucy, toutes deux Québécoises d’origine, mais mises au ban de la société matanaise, qu’il décidera d’aller à la conquête de ce coin de pays. Ensemble ils créent Réseau Matanie, un organisme à but non lucratif pour accueillir et organiser des rencontres entre nouveaux arrivants et natifs de la place.

Les journaux, la télévision et les médias sociaux relayant l’information, l’initiative est un succès. Progres­sivement, Marie-Claude et Catherine Berger appelées par d’autres défis cèdent la place à de nouvelles personnes inspirées par l’organisme. Cyrille s’en ira aussi plus tard, après s’être assuré que les choses sont entre de bonnes mains. Délesté de son passe-temps, l’ennui s’installe. La solitude et la nostalgie – que le réseautage étouffait bien –refont surface. Les automnes et les hivers deviennent plus froids, d’autant plus que s’acclimater aux mœurs québécoises font prendre le mauvais pli de se plaindre à chaque chan­gement de saison. La relation avec la gent féminine n’est pas ce qui se fait le mieux, car éduqué par une société patriarcale à être le maître dans la maison, l’égalité inaliénable entre l’homme et la femme ne lui donne pas beaucoup de chance de s’exprimer : il enchaîne échec sur échec dans la vie de couple.

Dans cette situation chaotique, écrire est son premier exutoire. Il s’inscrit sur un site littéraire en ligne : Oniris, où il se joint à une communauté d’écrivains amateurs soucieux non seulement de partager leurs écrits, mais aussi d’aider les autres à progresser. Il s’initie à la poésie, style qu’il maîtrisait moins, et devient très vite un auteur dont la prose séduit plus d’un. Mais toujours en lui subsiste un vide qui grandit de jour en jour. Dans son pays, la vie spirituelle occupe la majeure partie du temps de ses concitoyens; ici, au Québec, la grande noirceur a terni l’image de tout ce qui est en rapport avec le Divin, excepté le divin qui se cache en chaque personne. C’est la quête de cette énergie bienfaitrice pour son âme qui l’incite à revisiter le christianisme, la foi chrétienne l’ayant construit psychologiquement de toute pièce depuis sa tendre enfance.

Avec la redécouverte est venue l’envie de partager, mais aussi l’envie de guérir : Le christianisme est une foi si pure qu’il ne comprend pas comment on a pu l’utiliser pour meurtrir tant d’êtres humains. Son premier essai traite de l’imposture ecclésiastique, celle de ces personnes qui, sensées aider ont détruit. Le deuxième essai, c’est-à-dire le présent ouvrage, présente ce qu’est le christianisme authentique, une foi d’abord destinée à annoncer quelque chose de grandiose…


DU MÊME AUTEUR

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Imposture, pour en finir avec les amalgames

Publié chez Édilivre

Disponible au Québec chez

Renaud-Bray 

Québec Loisirs — Numériques

leslibraires.ca

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Cyrille Simplice Wandji

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Adresse de correspondance électronique :

eltonrw01@hotmail.com


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