L’aquarium fracassé, roman, Miville Morais, Fondation littéraire Fleur de Lys

L’AQUARIUM FRACASSÉ

Roman

MIVILLE MORAIS

Fondation littéraire Fleur de Lys

Lévis, Québec, 2021.

ISBN 978-2-89612-604-0

© Copyright 2021 Miville Morais

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PRÉSENTATION

PRÉSENTATION

La trame de ce roman a pour cadre plusieurs personnages qui vivent dans un univers de passion, de drames et de lyrisme. La thématique couvre une période d’un an dans la vie de Charles Denoncourt, le personnage clé.

Charles, chef d’équipe au SRN, part à la conquête de l’inaccessible Isabelle qu’il réussit à séduire malgré la conduite erratique de la pianiste Hélène, son ex-maitresse, qui ne vit que pour sa musique et sa folie d’être aimée. Celle-ci, abandonnée par son conjoint, se jette à corps perdu dans un délire érotomaniaque et le harcèle jusqu’à sa vengeance diabolique.

Patrick, le fils de Charles, utilisé à son insu par la sulfureuse Daphné Catellier, danseuse nue, cherche à connaître les tenants et aboutissants du drame survenu dans la famille de son amoureuse qui en subit les conséquences jusqu’à la naissance de son bébé Léa qu’elle rejette dans une psychose post-partum. Lors du drame raconté au chapitre cinq, le père de Daphné et l’ami de sa sœur Cynthia, meurent en pleine forêt pendant que Daphné et Cynthia vivent une nuit cauchemardesque.

Pour venir en aide à Daphné, Patrick, accompagné de sa sœur Mélanie et de son copain, partent à la recherche de Cynthia, qui, à la suite de cette terrible tragédie, s’est enfuie aux États-Unis. Grâce à leur débrouillardise, ils réussissent à la retrouver après quelques aventures rocambolesques à Atlantic City.

Après sa rupture avec Stéphane, Karine, la fille unique d’Isabelle, doit faire face à la dure réalité devant le suicide de son ex-ami de cœur. Avec l’aide d’une thérapeute, elle fait un cheminement personnel qui la mène devant un constat troublant, celui de reconnaître un aspect inconnu de sa personnalité.

Claudia, l’employée modèle de Charles au SRN, a le cœur brisé par la conduite de son conjoint Nicolas et doit réfléchir à sa vie personnelle volée en éclats. Lorsqu’ils se retrouvent quelques mois plus tard, le hasard les place au cœur d’une tentative de noyade dans une piscine impliquant une voisine et son garçonnet de dix ans.

En filigrane, vous accompagnez Charles, une espèce de Robin du fisc des temps modernes, dans le monde de la vérification fiscale, un milieu peu connu et qui vous fait découvrir la vie des gens qui y travaillent avec ardeur et dévouement ainsi que de la mission qui les anime de rétablir un certain équilibre social au nom de tous les citoyens.

Cette saga dévoile au lecteur la lutte incessante et les choix douloureux que plusieurs personnages doivent faire quand leur aquarium se fracasse et que leur bonheur éclate en mille morceaux.


EXTRAIT

EXTRAIT

AVANT-PROPOS

Nous vivons tous dans une bulle, baignant dans un liquide amniotique en compagnie de nos proches et des gens qui nous entourent. Le jour où un événement dramatique se produit, l’aquarium se fracasse et fait tout basculer dans le vide.

Pour certaines personnes, c’est l’occasion de mettre le cap vers un nouveau port d’attache. Pour d’autres, c’est la débâcle de leur démence intérieure entraînant dans son sillage son lot de tragédies humaines.

Bonne lecture.

PROLOGUE

Par un dimanche froid de fin novembre, Daphné arpentait seule la Grande Allée dans le Vieux-Québec, jetant des regards tristes autour d’elle. L’air était vif, le soleil bas à l’horizon. Des images tournoyaient dans sa tête et cherchaient un exutoire, un dénouement à un lourd désarroi qui l’étreignait depuis qu’une confirmation de ce qu’elle redoutait s’était concrétisée le matin même. Plus aucun doute, elle était enceinte. Un petit être innocent s’accrochait quelque part au fond de ses entrailles. Elle ne le méritait pas ce bébé. Elle était indigne d’être une maman. Pas de cette façon-là. Comme un automate, le cœur serré, emprisonné dans un étau de remords, elle se dirigea vers la Porte Saint-Louis, longea les édifices du parlement, tourna à gauche et se retrouva devant la fontaine de Tourny. Des gens étaient regroupés tout autour et regardaient, émerveillés les personnages en fonte évoquant l’imaginaire marin. Pour l’instant, ils étaient figés dans le froid, car la fontaine était en hibernation. Les cascades d’eau s’étaient tues et ne reviendraient qu’au printemps. Dos au soleil, elle s’appuya sur un muret en retrait, face à la fontaine sans vie. Ses yeux se mouillèrent. Exactement comme ce monument grandiose, sa vie s’était pétrifiée depuis plus de deux ans sur une voie sans issue quand les parois de son univers s’étaient fracassées lors d’un terrible drame survenu à la suite d’une chaîne d’événements qu’elle avait elle-même initiée.

Avant, c’était l’insouciance et l’innocence de ses vingt ans. Son quotidien d’alors ressemblait à ce geyser à ciel ouvert en pleine action avec des arabesques d’eau qui jaillissaient de partout et s’élançaient joyeusement dans le vide.

Elle devait prendre une décision et vite, car elle sentait qu’elle était à la dérive, sans gouvernail dans une mer d’incertitudes. Il lui fallait d’abord se débarrasser de cet enfant, mais quelque chose au fond d’elle-même la poussait à lui accorder un bref sursis. Pourquoi ne pas faire un vœu et tirer une pièce de monnaie dans ce bassin, comme le voulait la coutume à Rome devant la fontaine de Trévi? Pourquoi cela ne marcherait-il pas ici avec un objet quelconque? L’important, c’était de ne pas regarder l’endroit où il allait choir. L’eau qui ne jaillissait pas n’avait aucune importance. La chance n’était certainement pas réfractaire à la neige.

Un homme passa et la remarqua. Qu’elle était belle et pathétique cette jeune femme solitaire tout en pleurs! Elle dégageait tellement de chagrin qu’il aurait voulu aller vers elle et partager sa peine. Il continua son chemin en se retournant vers elle, le cœur gros.

Daphné fit glisser sur ses épaules les cordons de son sac à dos et fouilla à l’aveugle pour trouver un petit objet, n’importe quoi. Elle saisit quelque chose au bout de ses doigts, c’était une épinglette représentant un sapin de Noël multicolore qu’on lui avait remise à la suite d’un don pour une association caritative du temps des Fêtes. Elle se leva, fixa un instant ce petit bout de plastique, s’approcha lentement et tout en marchant, sans y jeter le moindre regard, d’un geste rapide, elle lança cet insigne dans le bassin tapissé de flocons blancs.

Confiante, mais complètement désemparée, elle accéléra le pas et retourna vers sa vie en pointillé…


AU SUJET DE L’AUTEURE

AU SUJET DE L’AUTEUR

MIVILLE MORAIS

Vous êtes ce que ce que vous lisez, ai-je souvent lu au cours de mes lectures. À l’âge de 10 ans, j’ai découvert le prodigieux pouvoir des mots et c’est là qu’est né mon amour inconditionnel de la langue française et de la lecture.

Pendant mon adolescence au collège classique, j’avais commencé à écrire un roman que je n’ai jamais terminé. Quelques années plus tard, à la fin de mes études universitaires en comptabilité, j’ai relu ces pages que je me suis empressé de les détruire en me disant de le faire quand j’aurai des choses intéressantes à raconter. Et la vie a suivi son cours, amour, famille, travail, loisirs. Après l’obtention de mon titre comptable, j’ai débuté ma carrière dans le domaine de la vérification fiscale et j’y ai passé 35 années de ma vie professionnelle, ce qui m’a permis de voyager à travers le Québec et le Canada, même aux États-Unis. J’ai ensuite occupé des postes de coordonnateur à quelques services spécialisés et terminer ma carrière comme chef d’équipe. À 60 ans, j’ai quitté ce milieu passionnant et reprit un autre rêve là où je l’avais laissé, écrire mon premier roman et l’amener cette fois-ci à terme.

Durant mes années de travail, je n’ai jamais cessé de nourrir mon projet d’écriture pour qu’un jour j’aie la détermination de concrétiser ces intriques et ces personnages qui m’obsédaient le soir avant le sommeil comme des avatars dans un monde virtuel. Il me fallait aussi, j’en étais bien conscient tout de même, avoir le talent nécessaire.

Aujourd’hui je suis septuagénaire. J’ai été marié, j’ai trois fils et trois belles-filles qui m’ont enrichi de 6 petits-enfants stimulants pour un grand-papa amoureux de la vie.

À la retraite, lorsque j’ai commencé péniblement à les faire jaillir au bout de mes doigts sur le clavier de mon portatif comme des étincelles de rêves, de cauchemars et d’espoir de vie meilleure, j’ai été rempli d’une grande joie et de beaucoup d’appréhension devant l’énormité de la tâche de convertir en mots les scènes qui surgissaient dans mon imaginaire.

J’espère seulement que vous aurez un intérêt et du plaisir à me lire. Merci.

Miville Morais

31 mars 2021


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L’étoile du Nord, roman fantastique – Littérature Jeunesse, Claire Gagnon, Fondation littéraire Fleur de Lys

L’étoile du Nord

  Claire Gagnon

Roman fantastique

Fondation littéraire Fleur de Lys

Lévis, Québec, mai 2020,

 176 pages. Format : 6 X 9 pouces.

Reliure allemande.

Couverture couleur souple.

ISBN 978-2-89612-585-2

Édition papier : 24.95$

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PRÉSENTATION

En cette nuit de Noël, Charlotte donnera naissance à son premier enfant. Malgré ses soixante ans, la mère et le poupon tout rose se portent à merveille. Attiré par les pleurs de l’enfant, le légendaire cheval de Noël s’approchera de la fenêtre pour y admirer le nourrisson. D’un seul coup de sabot d’or, une multitude d’étoiles rempliront la chambre de l’enfant. Aussitôt, il repartira gambader dans le village de Malva pour éparpiller des étoiles un peu partout. La sage-femme, de son côté, se chargera de répandre la nouvelle. Et c’est en franchissant le pont de pierres des champs que la rivière du souvenir lui dévoilera un secret.


EXTRAIT

EXTRAIT

Chapitre 1

La naissance de Gloria

Alors que le magnifique cheval de Noël s’amusait à caracoler dans notre village; Charlotte, aidée de la sage-femme, poussait de toutes ses forces. Avec toute la tendresse de son cœur, Malcom épongeait le front de sa compagne.

Courage bonne Charlotte ! lui dit la sage-femme. Je vois la tête du bébé. Une dernière poussée… peut-être… et je crois que…

Charlotte poussa encore une fois de toutes ses forces, puis le bébé arriva enfin au monde. Les pleurs de l’enfant étaient rassurants.

— C’est une fille ! s’exclama avec joie la sage-femme.

Charlotte prit son enfant sous le regard attendri de Malcom.

— Elle se nommera Gloria, lança Malcom.

— Regardez ! Regardez ! s’écria la sage-femme.

De la fenêtre de la chambre, le grand et musclé cheval brun était là, sans bouger, à examiner la petite famille.

— C’est une fille ! lui cria la sage-femme. C’est la petite Gloria.

Le cheval de Noël poussa quelques hennissements, puis, d’un coup de sabot d’or, une multitude d’étoiles s’éparpilla dans la chambre de Charlotte et Malcom.

Le cheval de Noël se cabra et reprit sa course un peu partout dans le village. Et comme à chaque nuit de Noël, le village fut rempli d’étoiles.

Évidemment, la sage-femme ne put s’empêcher de répandre la nouvelle. Elle marcha quasiment toutes les rues du village pour crier, à tous et à chacun, la naissance de la petite Gloria. C’est ainsi qu’en cette nuit de Noël, les villageois se sont collé le nez à la fenêtre de Charlotte et Malcom, pour y apercevoir ce poupon tout rose. Et les étoiles, qui ne cessaient de valser dans les quatre coins de la chambre, enchantaient les curieux.

C’est au petit matin de la nouvelle année que la petite Gloria fut présentée à la rivière du souvenir. Celle-ci calma ses flots pour mieux voir ce poupon bien rose.

— C’est notre fille Gloria, dit Malcom à la rivière du souvenir.

— Elle a hérité des cheveux roux de son père, ajouta Charlotte avec le sourire.

La sage-femme qui passait par là décida de s’arrêter un moment.

— Et malgré les soixante ans de Charlotte, continua la sage-femme, ce bébé se porte à merveille.

Mais le froid mordant de janvier obligea Charlotte et Malcom à retourner à la maison. La sage-femme demeura sur le pont de pierres des champs et regarda ce couple sexagénaire s’éloigner avec leur premier enfant.

— Veillez bien sur l’enchanteresse ! dit la rivière du souvenir.

— Que me dites-vous là ? demanda la sage-femme interloquée.

— Notre magnifique cheval de Noël lui a prodigué plusieurs dons, expliqua la rivière du souvenir. Elle aura besoin de votre aide.

— Que signifie tout cela ? Que dois-je faire pour cette enfant ?

— Vous le saurez en temps et lieu, répondit calmement la rivière du souvenir.

Sur ces mots, la rivière du souvenir devint silencieuse. La sage-femme crut bon d’en aviser Charlotte et Malcom, mais elle se ravisa. Elle continua son chemin.


AU SUJET DE L’AUTEURE

AU SUJET DE L’AUTEURE

Claire Gagnon

C’est en Mauricie, sur une petite ferme, que j’ai grandi. Dès que j’ai su lire, ce sont les contes de tante Lucille ainsi que ceux de la comtesse de Ségur qui ont rempli mon enfance. Mon intérêt pour les contes, les mythes et les légendes m’a conduit à l’U.Q.T.R où j’ai étudié en littérature. Par la suite, je me suis dirigée vers l’enseignement. J’ai surtout travaillé auprès de jeunes en difficulté qui fréquentaient les secteurs adaptés. Maintenant que je suis à la retraite, je consacre le plus clair de mon temps à écrire des histoires.

 


DU MÊME AUTEUR

DE LA MÊME AUTEURE

Jeanne Jutras

Le vieux Thomas et monsieur Eugène
Roman fantastique
Littérature Jeunesse
CLAIRE GAGNON
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, 2016, 216 pages.
ISBN 978-2-89612-525-8
Exemplaire numérique PDF : 7.00$
Exemplaire numérique ePub : 7.00$
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Grand-père Gédéon et la légende du cheval de Noël
Roman fantastique
Littérature Jeunesse
CLAIRE GAGNON
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, 2018, 292 pages.
ISBN 978-2-89612-558-6
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L’étoile du Nord
Roman fantastique
Littérature Jeunesse
CLAIRE GAGNON
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, 2020, 176 pages.
ISBN 978-2-89612-585-2
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Corona au Lac Castagnier, roman, Jeanne Jutras, Fondation littéraire Fleur de Lys

Corona au Lac Castanier

  Jeanne Jutras

Roman

Fondation littéraire Fleur de Lys

Lévis, Québec, mai 2020,

 382 pages. Format : 6 X 9 pouces.

Reliure allemande.

Couverture couleur souple.

ISBN 978-2-89612-582-1

Édition papier : 24.95$

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PRÉSENTATION

À la demande de nombreux lecteurs qui m’ont incitée à écrire une suite à mon premier roman, Corona, ma mère, voici avec un immense plaisir, Corona au Lac Castagnier.

Ce roman raconte les péripéties de la vie de Corona qui va se poursuivre dans le pittoresque village de Lac Castagnier situé dans la région d’Amos, en Abitibi. Mon héroïne fait preuve d’une grande résilience en ces temps difficiles des années 1950, en pays de colonisation. À la fois historique et romancée, la vie de Corona est un peu celle de toutes ces mères vaillantes qui ont écrit notre histoire.

Le village de Lac Castagnier maintenant annexé à la municipalité de La Morandière ne semble plus qu’un souvenir dans l’esprit de tous ceux et celles qui l’ont habité dans une période plus prospère. Disparus le monastère et l’église en pierres des champs ! Des colons ukrainiens, des polonais et des québécois se serraient les coudes pour y survivre en ce beau temps où les marguerites fleurissaient abondamment dans des champs arides défrichés pour ennoblir la terre de glaise de l’Abitibi. Des époustouflantes veines d’or, de cuivre et de nombreux autres métaux étaient enfantées aussi par cette terre ingrate, offrant des emplois à certains colons. Aujourd’hui, quelques rares amoureux du passé habitent encore autour du majestueux lac Castagnier qui a survécu à cette succession de colons qui l’ont tour à tour délaissé pour d’autres cieux. Le petit cimetière blotti sur le lac nous ramène à la mémoire ceux qu’on a aimés et qui y reposent en perpétuelle paix, tout comme Corona, Philippe et Cyrille, membres de ma propre famille. Un autre minuscule cimetière qu’on a retrouvé parmi les branchailles et les arbres, à l’orée de ce village presque disparu, affiche encore aujourd’hui de mystérieux noms ukrainiens. Ce roman vous fera revivre des souvenirs attachés à ce coin de pays qui s’estompent implacablement dans le passé.


EXTRAIT

EXTRAIT

Chapitre 1

Rétrospective : le passé au présent

Vaguant à sa routine de mère de famille, Corona, transformée en véritable robot humain, subissait le lourd fardeau d’une souffrance innommable suite à la mort tragique de son nouveau conjoint, Pierre Gélinas. Elle savait bien au fond d’elle-même ne jamais pouvoir se résoudre à oublier le regard lumineux de son amant. Comme un fantôme, elle errait à côté de sa vie, subjuguée par ce passé récent et prisonnière de l’inacceptable. Les mois se succédaient tout de même et ses six enfants exigeaient des soins qu’elle leur prodiguait mue par le seul instinct maternel. Son plus grand souci se résumait maintenant à garder vivant dans le cœur de sa progéniture le souvenir de Pierre, le papa de sa petite Louise, cet homme si bon qui avait transformé sa vie misérable en paradis inespéré. Malgré le soutien de madame Brûlé, sa vieille amie d’Évain, l’attention spéciale de son frère Edmond, le notaire, et de l’épouse de ce dernier, Georgette, la pauvre Corona ne parvenait pas à remonter l’abîme au fond duquel l’avait cruellement précipitée son deuil.

— Papa, réussit un jour à prononcer sa petite Louise en regardant la photo de l’homme disparu.

— Oui, mon trésor, c’est bien ton papa ce bel homme qui te sourit sur le portrait en noir et blanc en te berçant avec beaucoup d’amour. Dommage que tu ne puisses pas voir ses beaux yeux verts… Dis-le encore, redis-le, ma petite Louise :

— Pa pa

Corona appuyait avec exagération sur les deux syllabes qui résumaient le mieux leur aventure extraordinaire : ils s’étaient adorés, Pierre et elle et des jumelles identiques étaient nées de cet amour défendu, au grand dam du Curé représentant la religion catholique dans la paroisse d’Évain. Une pneumonie avait brutalement emporté Lise, la plus faible des deux fillettes, l’hiver précédent, puis, deux ans plus tard, le père des jumelles disparaissait à son tour dans le fond de la mine Noranda. L’Abitibi paradait sans relâche son obsédant cortège de fatalités duquel Corona aurait bien voulu détourner le regard au plus vite. La pente lui paraissait trop raide à remonter à moins d’un effort surhumain tellement soutenu qu’elle ne parvenait déjà plus à le fournir. Heureusement, Philippe, son mari légitime, n’avait pas donné signe de vie depuis plus de deux ans que Corona habitait rue Cardinal Bégin, à Rouyn. Elle redoutait Philippe même si elle s’en savait protégée par son frère Edmond, le notaire. L’agressivité de son époux était légendaire à tel point que les trois aînés de Corona, Cyrille, Jeanne et Pauline tremblaient à l’idée de revoir un jour leur père.

— À la moindre menace de sa part, je le fais arrêter, lui avait assuré Edmond en lui expliquant que la loi la protégerait si son mari osait encore la frapper.

Tant qu’elle habiterait la ville, Corona pouvait dormir en paix jusqu’à un certain point. C’était relativement heureux que sa maison d’Évain ait été la proie des flammes il y avait déjà deux ans car elle pouvait considérer comme une délivrance le fait de ne plus dépendre de ses dix vaches laitières pour vivoter comme femme de colon. Ici, à Rouyn, en 1951, sa famille ne mourrait pas de faim et ne manquerait pas de l’essentiel grâce au secours direct de la paroisse Saint-Michel, aux bons soins des Filles d’Isabelle et à la générosité du Club Kiwanis. Son mari, Philippe, n’oserait plus l’embêter, au dire du notaire. Corona appréhendait quand même l’apparition de Philippe dans sa vie. La mémoire du corps imprègne des marques invisibles mais très réelles dans toutes les fibres de la personne qui a subi des sévices physiques. L’instinct de survie gardait donc constamment Corona sur le qui-vive. La jeune femme restait inquiète, craintive, l’œil ouvert et la conscience en effervescence, tel un malheureux animal traqué.
Cette nuit-là, la grande Corona s’éveilla en sursaut, dans sa chambre au deuxième étage de son logement. En pleine noirceur, elle tira en vain à plusieurs reprises la longue corde reliée à l’ampoule du plafond. Elle aurait juré que Pierre venait de lui parler et qu’on marchait sur le bout des pieds avec grande précaution, en bas, sur le prélart neuf qui craquait par ailleurs à la moindre pression.

— J’ai dû rêver, se rassura-t-elle.

Dehors, un orage tardif pour la saison pétardait son tonnerre courroucé sur cette fin d’automne 1952. Corona avait de tout temps aimé l’orage mais se sentant épuisée subitement, elle frissonna, étourdie par le fracas des coups répétés. Avec courage, elle sortit de sous son édredon usé et mit pied à terre dans l’obscurité pour jeter un coup d’œil par la fenêtre du passage par où des éclairs majestueux mais sinistres pénétraient en rafale en blanchissant les murs. L’électricité n’avait pas résisté à la vélocité du vent puisque la noirceur totale envahissait l’espace dès qu’un éclair y mourait en zigzaguant. La maman en longue jaquette pâle descendit l’escalier jusqu’en bas, en s’appuyant sur la rampe branlante. Tout l’intérieur du salon à aires ouvertes et celui de la petite cuisine adjacente s’éclairaient sporadiquement en même temps que les coups de tonnerre résonnaient en crescendo: l’orage battait son plein. Elle s’assura que ses deux portes étaient bien barrées, au nord et au sud des deux appartements puis, elle se dirigea à tâtons à côté de son poêle à bois en cherchant sa grosse théière sur un petit poêle électrique à deux ronds posé sur le comptoir: heureusement, le thé encore tiède serait délicieux.

— Bonyenne, qu’est-ce qui m’prend de penser que Philippe est ici… Y a personne, voyons : j’suis seule en bas pis les enfants dorment en haut dans leurs deux chambres… J’irai jeter un coup d’œil dans celle des filles en remontant : peut-être que l’une des quatre a été réveillée par l’orage.

Quant à ses deux garçons, Cyrille et Michel, elle aurait parié qu’ils dormaient à poings fermés, inconscients des assauts du tonnerre. Corona avala une bonne gorgée du liquide tiède mais amer, recracha les quelques feuilles de thé qui lui collaient au palais et se retrouva vite en pensée devant la tombe fermée de Pierre exposée dans le salon familial.

C’était devenu un rituel sacré : chaque nuit depuis l’enterrement, elle revivait minute par minute l’unique soirée de veille au corps qu’elle avait offerte à Pierre Gélinas, l’homme de sa vie. Elle aurait pu le faire exposer au salon funéraire Darby, sur la rue Perreault, mais ce service n’était pas gratuit, loin de là, et le salon funéraire était ouvert au grand public ce qui ne convenait surtout pas à un couple qui avait vécu hors des normes de la religion catholique. D’ailleurs, le cercueil avait été scellé parce que Pierre, défiguré par sa chute à la mine, n’aurait pas été reconnaissable, au dire de l’embaumeur. Elle voulut donc le garder tout près d’elle et de leur fille Louise, dans l’intimité totale et jusqu’au moment ultime, jusqu’au grand déchirement, jusqu’à la vraie fin irréductiblement terminale où le corbillard reconduirait son conjoint au cimetière de Rouyn pour y être enterré. Sous le regard éploré de la sœur de Pierre, madame Pagé, sous l’œil humide de sa bonne amie d’Évain, madame Brûlé, sous les yeux secs mais les cœurs attendris de son frère Edmond et de Georgette, la femme de ce dernier, Corona avait assisté à l’enterrement avec ses six enfants qui trouvèrent moyen de s’amuser et de se chamailler, plus ou moins conscients de la douleur extrême de leur maman. Adossée à un grand pin qui la maintenait debout, du moins en apparence, Corona avait suivi la cérémonie machinalement, amenuisée par une simple robe noire en coton que lui avait offerte sa belle-sœur, Georgette. Son minuscule chapeau rond en feutre noir arborait une large voilette, noire également, qui ombrageait son visage pâli par la souffrance. Le cœur serré, elle ne bronchait pas et ne pleurait pas non plus ayant épuisé sa réserve de larmes. Qu’adviendrait-il d’eux maintenant que Pierre les avait quittés ? Quand tout fut terminé, sous une pluie fine mais glaciale, après la dernière poignée de terre et la bénédiction rapide de Mgr Albert Pelletier de la paroisse Saint-Michel, Corona sentit un bras protecteur la soulever littéralement pour l’aider à avancer, comme si elle pouvait encore avancer dans la vie, comme si tout n’était pas d’ores et déjà fini, comme si elle n’était pas morte elle aussi, en même temps que Pierre. Son frère Edmond, le notaire, la tint serrée contre sa hanche et lui murmura simplement :

— Viens, Corona : Georgette nous a préparé hier un bon dîner qu’il lui suffira de réchauffer. Ensuite, tu vas te reposer chez-nous.

Georgette, sa délicate belle-sœur pétrie de délicatesse et de compassion ajouta avec une conviction profonde en retirant délicatement ses souliers noirs à talons cubains:

— Toi, tu te reposeras et je m’occuperai de tes enfants, aujourd’hui. En soirée, j’irai t’accompagner pour les coucher et on jasera un peu, par la suite. Je ne te laisse pas seule ce soir, chère Corona !

Une pensée reconnaissante avait effleuré l’esprit de Corona : pauvre Georgette, elle a déjà tant à faire avec ses sept enfants et son emploi de secrétaire au bureau d’Edmond… Corona avait ébauché un semblant de sourire en signe de reconnaissance, convaincue qu’elle devait absolument reprendre ses forces car elle se sentait vidée de toute son énergie vitale.

— Et Pierre qui m’appelait Corona, sa couronnée, pensa-t-elle le cœur gonflé, au bord des larmes qui refusaient de se liquéfier. Couronne d’épines, s’il est une couronne sur ma tête en ce jour de l’enterrement de tous mes rêves… Pierre… Mon cher Pierre…

L’orage avait cessé et Corona décida de clore son rituel plongeon dans le passé qui lui serrait trop fort la poitrine en cette fin de nuit. Ses longs pieds nus et glacés remontèrent lentement l’escalier qu’elle avait si souvent gravi avec Pierre et elle retrouva son lit dans un désarroi total. Sans son amoureux, l’existence ne rimait plus qu’avec solitude. Elle se savait et se sentait tellement seule, réellement projetée au fond d’un gouffre aux parois si lisses et si sombres qu’elle n’imaginait même pas s’en sortir un jour. Plus rien ne serait jamais pareil : la vie ne retrouverait certes plus son goût festif ni ses airs endimanchés du temps de leur bonheur. Sa solitude lui parut soudain encore plus obscure et plus lourde à porter, façonnée des entraves d’innombrables boulets invisibles solidement attachés à ses frêles chevilles. Elle devait avancer quand même, coûte que coûte, un pas après l’autre, même si l’espoir n’était plus qu’un mot vide de sens qui sonnait faux dans sa triste réalité aussi mal accordée qu’un vieux piano brisé. La maman réussit tout de même à s’endormir, au petit matin, enroulée dans son angoisse oppressante. Malheureusement, les pleurs aigus de sa petite Louise de trois ans la réveillèrent aussitôt en sursaut.


AU SUJET DE L’AUTEURE

AU SUJET DE L’AUTEURE

Jeanne Jutras

Jeanne Jutras fut enfant de l’Abitibi mais elle habite la région de Saint-Jérôme depuis plus de 30 ans.

Romancière, elle s’adonne aussi à la poésie avec grand bonheur. Madame Jutras est retraitée de l’enseignement au secondaire où, à Amos, elle a exploité la poésie de Félix Leclerc, celle de Gilles Vigneault et celle de Jacques Michel, entre autres, en initiation poétique avec ses élèves. Elle a aussi enseigné au secondaire à Saint-Jérôme, durant plusieurs années.

Membre de l’Association des auteurs des Laurentides, elle a publié deux romans : Corona, ma mère (2010), Lucie l’enfant étrange (2013) et un recueil de poésie : La Quintessence de ma vie (2011), à La Fondation littéraire Fleur de Lys de Lévis, Québec

Madame Jutras fut coordonnatrice pour Poésie Académie qui offre encore avec grand succès un micro ouvert aux poètes adolescents et adultes de la région, à Saint-Jérôme, depuis le 19 mars 2013.

« Ma poésie s’avère réponse à un élan naturel du cœur jumelé à un jaillissement imprévisible de l’âme. Chaque prise de conscience de la beauté et de la bonté du monde me procure un état de gratitude sans borne à l’égard du Grand Programmeur de la vie », avoue madame Jutras.


DU MÊME AUTEUR

DE LA MÊME AUTEURE

Jeanne Jutras

Corona, ma mère
Roman
Jeanne Jutras
Roman,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2010, 408 pages.
ISBN 978-2-89612-353-7
Couverture souple couleur
Format 6 X 9 pouces
Reliure allemande
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La quintessence de ma vie
Poésie
Jeanne Jutras
Poésie,
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2011, 172 pages.
ISBN 978-2-89612-374-2
Couverture souple couleur
Format 6 X 9 pouces
Reliure allemande
Exemplaire papier : 24.95$ canadiens
Exemplaire numérique (PDF): 7.00$ canadiens

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Lucie, l’enfant étrange
Jeanne Jutras
Roman fantastique
Fondation littéraire Fleur de Lys,
Lévis, Québec, 2012, 232 pages.
ISBN 978-2-89612-428-2
Couverture souple couleur
Format 6 X 9 pouces
Reliure allemande
Exemplaire papier : 24.95$ canadiens
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Jeanne Jutras se fera un plaisir de lire et de répondre personnellement à vos courriels.

Adresse de correspondance électronique

jeannejutras@hotmail.com


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Papier ou Numérique

Corona au Lac Castanier
Jeanne Jutras
Roman
Fondation littéraire Fleur de Lys
Lévis, Québec, mai 2020,
382 pages. Format : 6 X 9 pouces.
Reliure allemande.
Couverture couleur souple.
ISBN 978-2-89612-582-1
Édition papier : 24.95$
Édition numérique : 7.00$ (PDF)

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